L'acculturation à l'université est une condition essentielle dans le processus de devenir étudiant à l'université (Coulon, 1997). Afin de faciliter cette acculturation, les étudiant•es sont invités à rédiger un rapport d'étonnement au cours de leur premier semestre d'étude en BUT GEA à l'IUT de Sceaux. Dans la lignée des travaux de Thievenaz (2017), nous faisons l'hypothèse que l'étonnement raconté permet d'accéder aux moments marquants soulignés par l'étudiant.e, moments qui peuvent être associés à des tournants ou ruptures dans son processus d'acculturation à l'université. Quelle est la nature et la diversité des situations d'étonnement/ expériences déconcertantes déclarées, dans les rapports d'étonnement des primo-entrant•es ? Quelle est la perception des étudiant•es de cette activité de rédaction d'un rapport d'étonnement ?